En développant et en brevetant son propre récepteur GPS à faible consommation d’énergie, Seiko a réalisé une 1ère mondiale : une montre solaire GPS analogique capable de recevoir des signaux GPS et d’analyser ses données. Elle reconnaît l’ensemble des zones couvertes par les 39 fuseaux horaires. Elle présente la précision d’une horloge atomique (1 sec. / 100 000 ans) et sa consommation d’énergie dépend uniquement de la lumière, elle n’aura donc jamais besoin d’un changement de pile. Où que vous soyez sur la planète à ciel ouvert, cette nouvelle Astron reçoit automatiquement le signal horaire une fois par jour. Elle peut également se connecter sur demande à quatre satellites en orbite ou plus.
La nouvelle ASTRON GPS SOLAIRE donne l’heure précise dès que le ciel est visible, où que vous soyez sur terre.
Il existe déjà de nombreux types de montres qui reçoivent des informations de temps provenant de source externes : radio-contrôle, GPS digital, etc mais …
Seule la nouvelle ASTRON offre ce qu’attend réellement le consommateur : une montre auto-ajustable et précise quel que soit le fuseau horaire.
Seul Seiko possède la technologie de pointe pour créer une montre qui divise le monde en un million de « carrés » auxquels sont attribués précisément une zone horaire, permettant ainsi au récepteur GPS de traduire les données de positionnement dans le bon fuseau horaire.
Plus de 100 brevets ont été déposés pour l’Astron GPS solaire !
Le sigle G.P.S. signifie Global Positioning System (système de positionnement mondial ou encore géo positionnement par satellite). C’est le principal système totalement opérationnel qui est actuellement utilisé par tous. C’est un réseau de satellites qui émettent en permanence des informations codées. Ces informations permettent d’identifier très précisément les positions géographiques sur terre en mesurant la distance depuis les satellites.
A l’origine, le système GPS avait été mis en place par le département de la Défense des États-Unis d’Amérique dans un cadre strictement militaire (satellites du ministère de la Défense en orbite permanente autour de la terre). Les récepteurs GPS devaient aider la navigation, le déploiement des troupes, orienter les tirs d’artillerie, etc...
Le nom officiel du GPS pour le Ministère de la défense des USA s’appelle le système NAVSTAR qui est un acronyme pour Navigation Satellite Timing and Ranging.
Du domaine strictement militaire, on est passé très rapidement aux applications civiles et pour le grand public. Un décret de Loi paru en 1980 a rendu le GPS accessible aussi à l’utilisation civile. L’engouement est énorme et on l’utilise désormais pour la navigation maritime, terrestre ou aérienne (automobiles, randonnées pédestres, pêche, agriculture et même les sports fitness).
De nos jours, il y a 24 satellites de communication qui sont opérationnels et qui orbitent à 20 200 kms d’altitude. Ces satellites émettent en permanence sur 2 fréquences distinctes: 1575,42 MHZ et 1227,60 MHZ. Il faut savoir que le signal émis est complexe car constitué de données numériques et d’un ensemble daté (horloge atomique), de codes aléatoires. Il y a 2 types de codes qui sont émis: le code C/A librement accessible par tous (acquisition grossière) et le code P (pour précision) qui est réservé aux utilisateurs autorisés, ce dernier code est chiffré. Les récepteurs GPS utilisés par le grand public utilisent le code C/A !
Les récepteurs captent les signaux des satellites et calculent d'eux-mêmes la position à partir des données reçues.Le GPS calcule la position par triangulation.
Cependant, le récepteur n'a pas l'heure exacte, le calcul de la position comporte donc une inconnue de temps qui ne peut être résolue que par la donnée d'un 4ème satellite.Autrement dit, avec 3 satellites, le récepteur déduit sa position relative par rapport à ces satellites, mais il ne sait pas où ils sont ! Il ne peut donc savoir où il se situe lui-même.
En pratique, le récepteur utilise de 4 à 18 satellites, car le problème réel comporte en plus de ces 4 inconnues, plusieurs corrections.Évidemment, plus de satellites sont utilisés, meilleure est la précision obtenue.
Il contient une horloge atomique, des panneaux solaires et une batterie de récepteurs et d'antennes pour communiquer avec tous ses petits camarades.
Une horloge atomique est une horloge qui utilise la pérennité et l'immuabilité de la fréquence du rayonnement électromagnétique émis par un électron lors du passage d'un niveau d'énergie à un autre, pour assurer l'exactitude et la stabilité du signal oscillant qu'elle produit. Un de leurs principaux usages est le maintien du Temps Atomique International (TAI) et la distribution du Temps Universel Coordonné (UTC) qui sont les échelles de temps de référence.
Le TAI est la référence mondiale fondée sur la définition de la seconde atomique, calculée au Bureau international des poids et mesures à Sèvres, en faisant la moyenne de plus de 300 horloges atomiques [349, décembre 2008] à travers le monde. En France, le temps légal repose sur les lectures d'une vingtaine d'horloges atomiques.
Outre servir à définir une référence chronologique universelle, les horloges atomiques sont également employées dans les technologies de positionnement géographique. Les satellites de la constellation GPS, du système GLONASS ou ceux du programme Galileo, embarquent chacun plusieurs horloges atomiques, jusqu'à 4 pour les satellites GPS.
Le 28 décembre 2005, une horloge atomique a été placée sur l'orbite prévue, à 23 000 kms d'altitude, par l'ESA et le GJU, à bord du premier de deux satellites expérimentaux nommé GIOVE-A (GSTB-2A), destiné au système européen de navigation par satellites Galileo, depuis une fusée russe Soyouz lancée du cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan.
Les horloges atomiques sont aussi utilisées dans les réseaux de télécommunications pour fournir un signal de référence aux oscillateurs internes des équipements, afin d'assurer une qualité de transmission des services en accord avec les normes internationales. On utilise soit les signaux directement produits par des horloges atomiques, soit les signaux élaborés à partir des émissions des satellites de la constellation GPS qui ont la stabilité des horloges atomiques embarquées.
Les montres atomiques sont les plus précises de toutes les montres. Le temps atomique est le temps officiel du gouvernement américain: c’est celui que la NASA utilise pour déclencher le compte à rebours du lancement d’une navette et c’est le nec plus ultra en terme de précision. En se calibrant avec une horloge atomique, une montre aura une précision d'environ 1 seconde tous les 100 000 ans.
La petite antenne radio à l’intérieur de la montre décode le temps des signaux codés et en utilisant ces signaux, elle se synchronise d’elle-même. Ceci est paramétré pour se produire automatiquement chaque jour. La montre n’a donc pas besoin d’être réglée à nouveau et a la capacité de s'adapter automatiquement à la mise en veille, aux années bissextiles et même aux différents fuseaux horaires.
Les montres atomiques ont un indicateur de signal qui vous fait part non seulement de sa force, mais aussi de la réussite de la synchronisation. Il est bon de vérifier cet indicateur le matin, car les montres atomiques sont pré-programmées pour recevoir des signaux pendant la nuit. C’est aussi parce que l'antenne est petite et qu’il y a moins d'interférence la nuit.